Le 5 février 2015 | joël Plantet | Décryptage
Rien ne serait pire que de ne plus y croire. Si les réponses à la « radicalisation » sont éminemment politiques, elles ne peuvent se décliner par le seul éventail d’une approche ultra sécuritaire. La prévention a son rôle à tenir. Comme jamais.
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