N° 1059 | Le 19 avril 2012 | Sommaires
Qui aurait parié dans les années soixante, époque où l’on était persuadé que les enfants trisomiques ne pouvaient apprendre à lire et à écrire, que quarante ans plus tard, un tiers d’entre eux en seraient capables ? Et qu’ils pourraient être scolarisés à l’école de leur quartier ou travailler en milieu ordinaire ?
Une prévention précoce, une scolarisation en milieu ordinaire ou spécialisé, permettent à l’enfant porteur de trisomie de gagner en autonomie. Plus tard, avec une formation professionnelle, il pourra travailler et trouver une place dans la société. Si celle-ci reste frileuse face à ce handicap, les choses bougent.
- Social actualités
- La chronique d’Etienne Liebig
- Le billet de Jacques Trémintin
- L’actu de la semaine
- Emploi : les invisibles se montrent
- Dossier : Trisomique et autonome
- À chacun son rythme !
- Sessad : un grand pas vers l’autonomie
- Rebonds
- Moi j’aimerais voter… Et vous ?
- « Je vous parle de bientraitance »
- C’est pas nous, c’est moi
- Initiative
- L’association Moissons Nouvelles dans le Var s’appuie sur l’éducation non formelle comme outil d’insertion
- Offres d’emploi
- Livres
- Dedans, dehors. La condition d’étranger - Guillaume le Blanc
- Nous sommes tous la France ! - François Durpaire