N° 1311 | Le 15 février 2022 | Sommaires
Les appels se multiplient en faveur du rapatriement des enfants français de jihadistes et pour la répartition de leur prise en charge entre départements, s’appuyant sur l’expérience de l’ASE de Seine-Saint-Denis et des Yvelines.
Ce contenu est réservé aux abonnés à la version numérique de Lien social
Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous pour accéder en ligne aux contenus de Lien Social.
Vous n’êtes pas abonné(e) ?
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.
S’abonner