N° 726 | Le 21 octobre 2004 | Dossiers

« Il faut savoir à quoi rêver et pourquoi rêver »

Propos recueillis par Guy Benloulou

La rencontre des acteurs de terrain et des jeunes en difficulté doit connaître une certaine continuité et pas seulement durer le temps d’une activité ponctuelle pense Marie-Christine Freire, chargée de mission au Conseil national des missions locales. C’est possible, explique-t-elle, à condition de le vouloir et que les moyens suivent : « Le regard qui est porté sur les jeunes doit éveiller chez eux une confiance dans un possible »

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